La Bourgogne-Franche-Comté fait partie des régions françaises les moins inégalitaires et doit le rester. Pour cela, elle peut et doit conforter les plus modestes, en adoptant une action ciblée dans les parties du territoire où les bas revenus sont les plus nombreux : dans les milieux ruraux comme le Morvan, la Bresse louhannaise, ou encore le nord de la Haute-Saône, ou les milieux ouvriers tels que le Florentinois, l’Auxois et le Nord-Franche-Comté. Ici, conduire une politique en faveur des nouvelles ruralités, là, une politique de la ville efficace.
Cette politique de solidarité territoriale se double d’une politique volontariste en faveur des publics dont nous avons la charge. Ainsi, pour protéger le pouvoir d’achat des ménages et inscrire notre action en faveur des apprenants, dans la droite ligne de la gratuité de l’école, nous avons choisi d’accompagner la scolarité en matière de transports,
d’accès au savoir et aux services de restauration et d’internat :
- mise en application progressive de la gratuité des transports scolaires (hors frais de dossier et là où nous exercerons la compétence) ;
- maintien de la gratuité des manuels scolaires et de la « caisse à outils » pour les apprentis ;
- mise en place d’une tarification sociale progressive dans les cantines et les internats des lycées ;
- consolidation de nos fonds sociaux pour les lycéens et les apprentis ;
- aide au permis de conduire.
Proche de ses publics, la région est aussi engagée auprès des collectivités qui développent des projets de solidarité sur leur territoire. Un dispositif d’aide aux communes accueillant des réfugiés, tant sur le plan de l’hébergement que de l’intégration, a par exemple été mis en place pour encourager le développement de cours et des programmes de français langue étrangère (FLE).
La Bourgogne-Franche-Comté fait partie des régions françaises les moins inégalitaires et doit le rester. »
J'ajoute ma contribution
J'ajoute ma contribution
Connexion