Face à des indicateurs sanitaires moins favorables qu’au niveau national (vieillissement de la population, faiblesse de l’offre de soins voire désertification médicale dans certains secteurs, disparités infra-régionales de mortalité), la région a fait de la santé l’une de ses priorités de l’égalité et de l’attractivité de ses territoires.
En l’espace d’une décennie, elle est devenue une région pilote dans l’accompagnement à la création des maisons de santé et à la construction de projets territoriaux de santé.
Elle s’est aussi beaucoup investie dans l’expérimentation de la télémédecine, dans le soutien à l’implantation de professionnels, dans l’accessibilité aux soins dans les situations d’urgence ou encore pour les personnes en précarité dans les zones rurales.
Les dynamiques enclenchées constituent, aujourd’hui, des bases solides pour construire un écosystème de santé de qualité.
Cependant, la collectivité régionale ne dispose pas de compétence de santé dédiée. Son intervention, rattachée à la fois aux compétences formation, recherche et aménagement du territoire, vise à répondre à une préoccupation essentielle et vitale de ses habitants.
Consolidée par les lois du 13 août 2004 (libertés et responsabilités locales) puis du 21 juillet 2009 (hôpital, patients, santé et territoire, dite HPST), l’intervention de la région sur le volet santé s’est encore affirmée avec la loi NOTRe du 7 août 2015. La région a également fait le choix de co-piloter avec l’Etat le troisième plan régional santé environnement (PRSE) et de présider le cancéropôle Grand Est.
La région défend et promeut l’accès à la santé et à la qualité de vie pour tous. »
J'ajoute ma contribution
J'ajoute ma contribution
Connexion