Engagement #31

Contribuer à la réduction des inégalités d’accès aux soins et promouvoir la santé sur le territoire

Face à des indicateurs sanitaires moins favorables qu’au niveau national (vieillissement de la population, faiblesse de l’offre de soins voire désertification médicale dans certains secteurs, disparités infra-régionales de mortalité), la région a fait de la santé l’une de ses priorités de l’égalité et de l’attractivité de ses territoires.

En l’espace d’une décennie, elle est devenue une région pilote dans l’accompagnement à la création des maisons de santé et à la construction de projets territoriaux de santé.

Elle s’est aussi beaucoup investie dans l’expérimentation de la télémédecine, dans le soutien à l’implantation de professionnels, dans l’accessibilité aux soins dans les situations d’urgence ou encore pour les personnes en précarité dans les zones rurales.

Les dynamiques enclenchées constituent, aujourd’hui, des bases solides pour construire un écosystème de santé de qualité.

Cependant, la collectivité régionale ne dispose pas de compétence de santé dédiée. Son intervention, rattachée à la fois aux compétences formation, recherche et aménagement du territoire, vise à répondre à une préoccupation essentielle et vitale de ses habitants.

Consolidée par les lois du 13 août 2004 (libertés et responsabilités locales) puis du 21 juillet 2009 (hôpital, patients, santé et territoire, dite HPST), l’intervention de la région sur le volet santé s’est encore affirmée avec la loi NOTRe du 7 août 2015. La région a également fait le choix de co-piloter avec l’Etat le troisième plan régional santé environnement (PRSE) et de présider le cancéropôle Grand Est.

La région défend et promeut l’accès à la santé et à la qualité de vie pour tous. »

La concertation régionale en matière de santé s’exerce dans le cadre des instances pilotées par l’Agence régionale de santé (ARS) au titre de la conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA). Elle a vocation à s’appuyer sur un partenariat étroit avec l’ARS, principal partenaire de la région en matière de santé.

A partir de l’analyse des besoins et de l’identification des leviers qu’elle peut mobiliser, la région a identifié les priorités suivantes :

  • lutter contre la désertification médicale en favorisant la structuration de l’offre de soins par l’aide à l’installation des professionnels et le développement des maisons et centres de santé dans les zones déficitaires ;
  • favoriser le développement de la filière e-santé et de l’économie tournée vers les personnes âgées pour apporter de nouvelles réponses aux besoins sanitaires et sociaux (facilitation des diagnostics, soins à distance, maintien à domicile, préservation de l’autonomie des personnes âgées) ;
  • renforcer l’accès aux soins par la généralisation de l’aide au transport non médicalisé des patients aux revenus modestes ;
  • mobiliser la carte des formations sanitaires et sociales pour une meilleure adéquation entre ressources humaines et besoins de la population ;
  • appuyer des initiatives innovantes et expérimentales (appels à projets) en matière de prévention, de veille sanitaire et de santé environnementale.

5 contributions

ARNOULT

Bonjour,

la première étape pour accéder aux soins c'est l'inscription à la CPAM.
Dans mon cas ca a été un vrai parcours du combattant dans lequel j'ai du menacer de saisir le conciliateur de la république afin d'obtenir au bout de 1an et demi , mon inscription.
Ca a été 3 dossiers perdus, avec fautes reconnues du service. 4 courriers qui ne seraient jamais arrivés, dont 2 recommandés pourtant réceptionnés.
1 dossier remis en main propre à une conseillère, perdu à nouveau.

Je ne suis pas originaire de Bourgogne, mais je peux vous le dire pour avoir eu affaire avec d'autres centres :
la CPAM de DIJON est une calamité sans nom, il serait bon d'agir au plus vite.
Suite à discussions avec des amis, je suis loin d'être un cas unique.
C'est déplorable, il faut agir et vite !

Petit Karine

L'accès aux soins parlons en.
En fermant l'hôpital de St claude on met des milliers de personnes à plus d'une heure d'un hôpital.
J'appelle ça prendre la population rurale pour des sous citoyens
Sans parlé des emplois liés à cette décision

serrano

Il faut vraiment faire en sorte que chacun puisse de soigner quelque soit le lieu d habitation et favoriser la qualité, ne pas attendre des mois pour avoir un rdv et surtout renforcer le personnel hospitalier et créer des maison de santé.

Brigitte BAIN

agir au niveau national pour des prises de décisions favorables aux plus démunis, faire des soins de santé pour tous à un prix abordable c'est un objectif majeur pour une meilleure qualité de vie pour tous

PERDREAU Jacques

Pour la Santé, le bien vivre en "BFC" un réseaux de "maison de santé pluridisciplinaire " en lien avec les Hôpitaux serai peut être la solution !....
Mais dans le cas de bassin de vie en limite de la Région il serai IMPERATIF que les politiques et les ARS dans notre cas ARS Ile de France et ARS BFC s'entendent .......
En effet dans le cas de village comme VILLENEUVE LA GUYARD nous nous sentons quelque peut abandonné.....
Merci de vos réponses à ces Problèmes

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